Nos sexualités sont régulées par un ensemble de normes et de mécanismes de contrôle social formant un ordre sexuel. Y déroger nous construit comme dissident·es sexuels. Cela signifie qu’à la fois nous sommes plus à risque de subir marginalisation et violence, et pouvons mener des actions politiques s’attaquant à cet ordre sexuel. Inspiré du travail de l’anthropologue et activiste lesbienne Gayle Rubin, l’objectif de cette conférence est de réfléchir au fonctionnement de l’oppression sexuelle et aux résistances y faisant face.
 

Conférencier :  Chacha Enriquez (il, elle, iel), enseignant·e en sociologie au collégial et à l’UQAM et activiste queer.

Jeudi le 3 février
18h à 20h

Pour obtenir le lien de connexion et tous les détails, c’est ici.

Avec cette rubrique, la Chaire de recherche sur la diversité sexuelle et la pluralité des genres souhaite mettre de l’avant ses partenaires qui travaillent trop souvent dans l’ombre et qui œuvrent sans relâche afin de soutenir les personnes issues des minorités sexuelles et de genre, de faire valoir leurs droits et de combattre l’homophobie et la transphobie. Ce mois-ci, nous vous proposons de découvrir AlterHéros. 
 

1. Permettre aux participant.e.s de communiquer avec une équipe interdisciplinaire de professionnels en santé physique, mentale et psychologique spécialisée dans le domaine de l’orientation sexuelle, l’identité sexuelle, l’expression de genre et la santé sexuelle;
2. Offrir un espace de socialisation thématique et structurée dans le but de promouvoir la santé physique, mentale et sexuelle ainsi que de briser l’isolement;
3. Étudier les problématiques et les enjeux sociaux reliés à l’orientation sexuelle, l’identité de genre, l’expression de genre et la sexualité.

Pour plus d’informations sur AlterHéros, cliquez ici.

Tâches et responsabilités
Sous la supervision du coordonnateur de la Chaire, la personne :

• Produit des infographies issues des données de recherche
• Effectue la mise en page de rapports de recherche, de fiches-synthèse et de tout autres documents de transfert de connaissances.
• Produit des modèles de diapositives attrayants pour les conférences scientifiques données par le titulaire ou des stagiaires de la Chaire
• Crée du visuel pour les réseaux sociaux en collaboration avec la responsable des communications
• Propose du matériel pour optimiser l’identité visuelle de la Chaire
• Effectue du montage vidéo et audio
• Fait toutes autres tâches connexes

Exigences

• Être inscrit·e comme étudiant·e dans un programme universitaire en design graphique
• Personne créative, autonome et minutieuse
• Excellent sens de l’initiative
• Bonne maîtrise du français à l’oral et à l’écrit
• Sensibilité aux réalités des personnes LGBTQ+
• Maîtriser les logiciels de la suite Adobe Creative Cloud (Illustrator, InDesign, Photoshop, etc.)
• Avoir à cœur le rayonnement de la Chaire

Horaire : 15h/semaine, horaire flexible sur 2 à 5 jours
Salaire : Selon l’échelle salariale du SÉTUE
Conditions : Selon les consignes gouvernementales
Date de dépôt des dossiers : dès maintenant, jusqu’à ce que le poste soit comblé.
Entrée en poste : Au plus tard le 14 février 2022

Lorsque le parti nazi gagne le pouvoir en Allemagne en 1933, il instaure des mesures d’arrestations de masse des personnes homosexuelles. Environ 100 000 hommes gais auraient été arrêtés et entre 5 000 et 15 000 auraient été placés dans des camps de concentration durant le règne nazi. En plus d’être parmi les groupes les plus sévèrement traités dans ces camps, de nombreuses personnes homosexuelles sont restées incarcérées jusqu’au début des années 1970, l’homosexualité étant restée illégale en terres allemandes jusqu’en 1994 (Mullen, 2019).

À partir des années soixante-dix, le triangle rose est récupéré par plusieurs organisations pour les droits LGBT, dont Homosexuelle Aktion Westberlin (HAW), l’AIDS Coalition to Unleash Power (ACT UP) et SOS homophobie. Maintenant symbole de libération et de fierté, le triangle rose reste un rappel brutal de la dure réalité vécue par les personnes LGBTQ+ lors de la Seconde Guerre mondiale (Mullen, 2019).

Pour consultez la ligne du temps des luttes et des droits LGBTQ+ au Québec, c’est ici.

La revue scientifique Whatever lance un appel de propositions d’articles scientifiques (en anglais). Ce numéro spécial s’intéresse, entre autres, à la performance de genre, de race et de nation, au tournant queer en Amérique latine contemporaine et à ce qui se trouve au-delà de la binarité des genres.

Cliquez ici pour accéder aux détails. 

Dans le cadre du 89e Congrès de l’ACFAS, le Laboratoire sur la communication et le numérique (LabCMO) et la Chaire de recherche sur la diversité sexuelle et la pluralité des genres invitent les personnes intéressées à soumettre un résumé de communication au colloque « Les enjeux du numérique pour les communautés LGBTQ+ ».

Pour en savoir plus, c’est ici.

Diversité 02 s’associe à Fierté Agricole afin d’offrir un groupe de discussion en ligne pour les personnes LGBTQ+ vivant en région éloignée. Animé par une équipe qualifiée, des thèmes aussi variés que l’estime de soi, le stress ou l’anxiété seront abordés.  

Vous êtes un couple de mères ou de pères et vous avez adopté un enfant ensemble via la banque mixte? Votre enfant a entre 8 et 14 ans?

Gabrielle Comtois, doctorante en psychologie à l’UQAM, mène une étude consacrée aux expériences à l’école d’enfants adoptés par des couples du même sexe.

Votre participation implique de remplir un questionnaire en ligne (entre 10 et 30 minutes). Votre enfant répondra à des questions posées par une assistante via Zoom (1 heure maximum). Une compensation de 75$ est offerte pour votre participation.

Ce projet, intitulé Vies oubliées: les expériences des personnes trans âgées vivant avec une démence, est mené par deux professeur-es de l’École de service social de l’Université d’Ottawa, Marjorie Silverman (femme cisgenre, pronom elle) et Alexandre Baril (homme trans, pronom il). 

Êtes-vous : 
Une personne de 50 ans?
Une personne vivant avec l’Alzheimer ou une démence (modérée ou avancée)?
Une personne s’identifiant comme une personne trans (transexuelle, transgenre, non binaire, etc.)?

À savoir : 
Deux rencontres seront planifiées par vidéoconférence au moment de votre choix
Participation remerciée avec une carte-cadeau de 25$
Projet codirigé par une personne transgenre et une personne cisgenre dans une perspective trans-affirmative

Dans le cadre de la création de son mémoire à la maîtrise en psychoéducation, Amélie Ménard-Vendette, étudiante à l’Université du Québec en Outaouais, fait une recherche sur la réalité des personnes ayant une déficience intellectuelle faisant partie de la diversité sexuelle.

Par des entrevues individuelles d’une durée de 30 à 60 minutes, l’étudiante-chercheur explorera les réalités des personnes de 18 ans et plus ayant une déficience intellectuelle légère faisant partie de la communauté LGB, s’identifiant comme lesbiennes, gaies, bisexuelles ou autres, ainsi que les attitudes de leur famille et de leurs intervenant·e·s à leurs égards.

La Chaire de recherche sur les violences sexistes et sexuelles en milieu d’enseignement supérieur (VSSMES), en partenariat avec la Chaire de recherche sur la diversité sexuelle et la pluralité des genres ainsi que des organismes 2SLGBTQIA+, mène une recherche sur les situations de harcèlement et de violences à caractère sexuel vécues par les personnes de la diversité sexuelle et de genre étudiant en milieu collégial.

Pour participer, vous devez :

• Être une personne faisant partie de la diversité sexuelle et de la pluralité des genres ;
• Étudier au cégep ou en milieu collégial.

Prenez note qu’il n’est pas nécessaire d’avoir vécu personnellement des situations de harcèlement et de violences à caractère sexuel ou d’en avoir été témoin pour répondre au questionnaire.
 
Pour participer au projet de recherche, cliquez ici. Pour plus d’informations ou pour toute question, contactez l’équipe du projet par courriel en cliquant ici ou par téléphone au 514-987-3000 poste 3535.

Qollab en partenariat avec l’École de santé publique de l’Université de Montréal et RÉZO mènent une nouvelle étude qui vise à documenter l’expérience des hommes gais, bisexuels et queer (GBQ) à Montréal avec le système de santé afin d’émettre des recommandations qui pourraient améliorer les services. Cette étude est financé par le Comité Régional en Santé et Bien-être des Hommes de l’île-de-Montréal (CRSBEHIM). 

Vous devez : 
Être un homme GBQ
Être âgé de 18 ans et plus
Participez à une discussion Zoom de 90 minutes

Une compensation de 75$ sera offerte.

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