Date : Mercredi 6 décembre 2017
Heure : 18h00 à 20h00
Lieu : UQAM, local N-7050, pavillon Paul-Gérin-Lajoie (N), 1205, rue St-Denis, Montréal - Entrée libre!
Diffusions simultanées : Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, salle C-226, campus de Rouyn - Pour participer, SVP, réservez par téléphone (514 987-3000, poste 3752) ou par courriel (chaire.homophobie@uqam.ca)
Rejoingnez la conférence EN DIRECT à partir d’un PC ou d’un Mac, ou d’un système Linux, iOS ou Android : https://uqam.zoom.us/j/870354703 | Ou touchez l’écran une fois sur votre iPhone: Canada: +16475580588,,870354703#
Résumé de la conférence : La bispiritualité chez les Premières Nations se définit différemment de l’homosexualité, et est plus ancrée dans les rôles sociaux. La colonisation s’est attaquée à cette tradition comme toutes autres traditions spirituelles, et dû aux abus sexuels subis dans les pensionnats et les propos anti-homosexuels toujours vivants dans nos communautés, les bispirituels de nos jours continuent à faire face à l’intimidation et la violence, et ceci, souvent de la part de leurs familles. Quand la réalité se vit mal, la survie demande le refus, l’isolement ou de s’éloigner jusqu’à renier son héritage. Afin de comprendre où on en est aujourd’hui, il faudra passer par une courte histoire de la bispiritualité avant, durant et après l’ère de la colonisation européenne sur ce continent.
Par Elizabeth Diane Labelle, directrice du premier centre d’éducation aux adultes anglophone au Québec, situé à Kahnawake.